Afin de se différentier des autres programmes de formation continue, Kpten avait comme objectif de montrer l'impact de nos formations sur les patients.
Nous avons imaginé développer des "cabinets-vitrines" que nous pourrions aider à lancer et dont nous pourrions montrer les résultats auprès des professionnels et des patients (nombre de séances, évaluation d'entrée et de sortie via des bilans standards, etc.). Ces cabinets permettraient, à l'instar de ce qui est réalisé dans les écoles d'ostéopathie ou de podologie, de recevoir gratuitement des patients et participer aussi au réseau des terrains de stage pour la formation clinique de nos participants.
Dans le développement de Kpten, nous avions également besoin de salles de cours ce qui permettait aussi d'utiliser le cabinet en partie pour nos formations.
Cet objectif n'a pas été atteint.
Nous avons participé à la création d'un cabinet et payé le loyer durant plusieurs années (plus de 80 000 euros à la charge de Kpten plus une quote-part d'achat sur le matériel qui fait avoisiner les 100 000 euros investis au total) pour pouvoir proposer aux patients des soins ou pour organiser des cours.
Pour le premier axe, les locataires ont été attaqué par l'ordre pour comportant non-éthique en considérant qu'ils ne respectaient pas le patient dans la rédaction de la convention qui les liaient à Kpten. Nous demandions à pouvoir avoir accès aux locaux pour les cours avec un équipement précis et également de pouvoir traiter des patients du cabinet. L'Ordre a considéré que les patients ne devaient pas être considéré comme du "matériel", cela n'était pas éthique. Ce n'était pas notre intention en rédigeant le texte. Mais certains l'ont interprété de cette manière. Cela n'a pas eu trop de conséquence pour les locataires mis à part les frais d'avocats.
Pour le second objectif, les locataires se sont fâchés et se sont séparés après 6 mois.
Parallèlement, le cabinet de 150 m2 devenant trop petit et ne pouvant pas fermer durant les sessions de formation qui avaient lieu en semaine. Nous avons été obligé d'assumer la signature du bail durant quelques années et avec un coût non négligeable pour notre entreprise.
Nous ne renouvellerons pas ce genre de sponsoring après cette expérience.
Le prochain article portera sur le 8é objectif de Kpten : le développement de bourses d'études pour développer le réseau de formateurs.
Nous avons imaginé développer des "cabinets-vitrines" que nous pourrions aider à lancer et dont nous pourrions montrer les résultats auprès des professionnels et des patients (nombre de séances, évaluation d'entrée et de sortie via des bilans standards, etc.). Ces cabinets permettraient, à l'instar de ce qui est réalisé dans les écoles d'ostéopathie ou de podologie, de recevoir gratuitement des patients et participer aussi au réseau des terrains de stage pour la formation clinique de nos participants.
Dans le développement de Kpten, nous avions également besoin de salles de cours ce qui permettait aussi d'utiliser le cabinet en partie pour nos formations.
Cet objectif n'a pas été atteint.
Nous avons participé à la création d'un cabinet et payé le loyer durant plusieurs années (plus de 80 000 euros à la charge de Kpten plus une quote-part d'achat sur le matériel qui fait avoisiner les 100 000 euros investis au total) pour pouvoir proposer aux patients des soins ou pour organiser des cours.
Pour le premier axe, les locataires ont été attaqué par l'ordre pour comportant non-éthique en considérant qu'ils ne respectaient pas le patient dans la rédaction de la convention qui les liaient à Kpten. Nous demandions à pouvoir avoir accès aux locaux pour les cours avec un équipement précis et également de pouvoir traiter des patients du cabinet. L'Ordre a considéré que les patients ne devaient pas être considéré comme du "matériel", cela n'était pas éthique. Ce n'était pas notre intention en rédigeant le texte. Mais certains l'ont interprété de cette manière. Cela n'a pas eu trop de conséquence pour les locataires mis à part les frais d'avocats.
Pour le second objectif, les locataires se sont fâchés et se sont séparés après 6 mois.
Parallèlement, le cabinet de 150 m2 devenant trop petit et ne pouvant pas fermer durant les sessions de formation qui avaient lieu en semaine. Nous avons été obligé d'assumer la signature du bail durant quelques années et avec un coût non négligeable pour notre entreprise.
Nous ne renouvellerons pas ce genre de sponsoring après cette expérience.
Le prochain article portera sur le 8é objectif de Kpten : le développement de bourses d'études pour développer le réseau de formateurs.